Organes: Sein
Glaxo Smith Kline (GSK) MAJ Il y a 4 ans
Essai clos aux inclusions
Essai clos aux inclusions
UNICANCER MAJ Il y a 6 ans

Étude RxPONDER : étude de phase 3 randomisée visant à comparer une hormonothérapie seule ou associée à une chimiothérapie, chez des patientes ayant un adénocarcinome du sein avec ganglions lymphatiques (1-3 ganglions) hormono-dépendant et HER 2 négatif. Des essais prospectifs ont montrés que les patientes atteintes d’un cancer du sein avec récepteurs hormonaux positifs (RH+), bénéficient de l’ajout de la chimiothérapie au traitement hormonal. Des méta-analyses ont montré que l’ajout de taxanes à une chimiothérapie à base d’anthracyclines améliore la survie sans récidive et la survie globale. Cependant, plusieurs analyses ont montré que certaines patientes ne peuvent pas bénéficier de la chimiothérapie, plus spécifiquement les patientes avec des tumeurs bien différenciées, de bas grade, ou avec une forte expression des RH, ou avec un score de récidive faible, défini par le test Oncotype DX®. L’objectif de cet essai est d’étudier l’efficacité de la chimiothérapie associée à une hormonothérapie chez des patientes ayant un adénocarcinome du sein avec atteinte ganglionnaire, HR+, HER 2- et un score de récidive ≤25. Le score de récidive est effectué à partir d’un échantillon de tissu tumoral prélevé par biopsie. Les patientes seront réparties selon 2 groupes. Les patientes du premier groupe recevront une hormonothérapie. les patientes du deuxième groupe recevront une hormonothérapie associée à une chimiothérapie. Les thérapies seront administrées selon de le score de récidive, le statut ménopausal et l’atteinte ganglionnaire. Le choix des traitements est laissé à l’appréciation du médecin parmi plusieurs propositions.

Essai ouvert aux inclusions
Odonate Thérapeutics MAJ Il y a 4 ans

Étude CONTESSA : étude de phase 3 randomisée évaluant l’efficacité du tésétaxel en association avec de la capéctabine par rapport à la capécitabine en monothérapie chez des patients ayant un cancer du sein localement avancé ou métastatique. Le cancer du sein est le cancer le plus fréquent chez la femme. Il représente plus du tiers de l'ensemble des nouveaux cas de cancer chez la femme. Un cancer du sein résulte d'un dérèglement de certaines cellules qui se multiplient et forment le plus souvent une masse appelée tumeur. Il en existe différents types qui n’évoluent pas de la même manière. Les cellules cancéreuses peuvent rester dans le sein ou se propager dans d’autres organes : on parle alors de métastases. Le tésétaxel est un agent de chimiothérapie appartenant à une classe de médicaments connus sous le nom de taxanes, largement utilisés dans le traitement du cancer. Plusieurs études cliniques ont montré que le tésétaxel a une activité antitumorale en inhibant la croissance des cellules tumorales. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité du tésétaxel associé à de la capécitabine par rapport à la capécitabine seule chez des patients ayant un cancer du sein localement avancé ou métastatique. Les patients seront répartis de façon aléatoire en 2 groupes : Les patients du premier groupe recevront du tésétaxel toutes les 3 semaines associé à de la capécitabine 2 fois par jour à faible dose 2 semaines sur 3. Le traitement sera répété jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Les patients du deuxième groupe recevront de la capécitabine 2 fois par jour à forte dose 2 semaines sur 3. Le traitement sera répété jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant 5 ans et demi maximum.

Essai ouvert aux inclusions

Etude ELCCA II : étude visant à étudier l’évolution de la qualité de vie et du bien-être chez des patients après un cancer. Au-delà des traitements contre le cancer, la qualité de vie des patients pendant et après la maladie doit être prise en compte par les équipes médicales. L’objectif de cet étude est d’analyser l’évolution de la qualité de vie, du bien être subjectif et des dimensions psychologiques chez des patients traités pour cancer. Une partie des patients ont déjà participé à l’étude ELCAA I. La qualité de vie sera évaluée : - En étudiant les changements perçus subjectivement et en envisageant comment ils participent à l’adaptation et à la construction du vécu de l’après-cancer ; - En explorant de nouvelles manières d’appréhender la qualité de vie en intégrant les dimensions psychologiques de la maladie cancéreuse. Les patients seront soumis d’une part à des questionnaires auto-administrés, validés et traités de manière anonyme et d’autre part à des entretiens semi-dirigés, réalisés par des professionnels en sociologie et psychologie. Les questionnaires seront remis aux patients sous forme d’un cahier unique, à 6 temps de l’étude : - A 1 mois, 6 mois, 1 an et 2 ans du diagnostic, puis à 4 et 5 ans pour les nouveaux patients ; - Uniquement à 4 et 5 ans pour les patients de la cohorte ELCCA I qui ont déjà renseigné les 4 premiers dans le cadre de cette cohorte. Les entretiens individuels seront proposés à un groupe de patients ayant déjà participé à l’étude ELCCA I. Les entretiens se dérouleront à deux reprises, à 4 ans et à 5 ans du diagnostic. Ils devront être réalisés avant la remise du cahier de questionnaires auto-administrés. Si un patient est retenu pour les entretiens semi-dirigés il en sera avisé à son inclusion dans l’étude. S’il accepte d’y participer, le sociologue prendra contact avec lui afin de définir les modalités pratiques de ces entretiens qui ne dureront pas plus d’1 heure 30.

Essai ouvert aux inclusions
Eli Lilly and Company MAJ Il y a 4 ans

Étude KEYNOTE 287 : étude de phase 1b non-randomisée visant à évaluer la sécurité d’emploi et l’efficacité de l’abémaciclib en association au pembrolizumab chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules au stade IV ou un cancer du sein positif pour le récepteur hormonal et négative pour HER2. [essai clos aux inclusions] Le cancer du poumon non à petites cellules est le type de cancer du poumon le plus fréquent, qui représente 85 à 90% de l’ensemble des cancers du poumon. Le cancer du poumon non à petites cellules métastatique de stade IV est rarement opérable ou peu traité par radiothérapie, donc les traitements principaux sont la chimiothérapie et/ou l’immunothérapie. Environ 75% des patientes ménopausées ayant un cancer du sein sont positives pour le récepteur hormonal, ce qui les rend sensibles à l’hormonothérapie. Malgré l’efficacité de l’hormonothérapie, des nombreuses tumeurs positives pour le récepteur hormonal présentent une résistance à cette thérapie. Un tiers des patientes ayant un cancer du sein primaire positif pour le récepteur hormonal et normal pour HER2 présente un haut risque de récidive après avoir été traitées par une chimiothérapie néoadjuvante. L’abémaciclib est une nouvelle chimiothérapie qui inhibe la voie du cycle cellulaire stimulé par les oestrogènes et par conséquent elle inhibe la croissance des cellules cancéreuses. L’objectif de cette étude est d’évaluer la sécurité d’emploi et l’efficacité de l’abémaciclib en association au pembrolizumab chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules au stade IV ou un cancer du sein positif pour le récepteur hormonal et négatif pour HER2. Les patients seront répartis en 3 groupes selon leur type de cancer. Les patients du premier groupe seront les patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules muté pour KRAS et positif pour PD-L1. Les patients du deuxième groupe seront les patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules squameux. Les patients du troisième groupe seront les patients ayant un cancer du sein métastatique positif pour le récepteur hormonal, négatif pour HER2. Tous les patients recevront de l’abémaciclib deux fois par jour, tous les jours associé à du pembrolizumab toutes les 3 semaines. Le traitement est répété tous les 21 joursjusqu’à la progression ou intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant environ 18 mois.

Essai clos aux inclusions